Le 4 ème étage

Réaliser par : Josh Klausner



Avec : Juliette Lewis, William Hurt et Tobin Bell.



Titre Original : The 4th Floor
Long métrage américain
Genre : Thriller
Durée : 1h30 ( environ)
Année de production : Sortie le 16 août 2000 en France.



Résumer :

Jane Emelin, jeune décoratrice d'intérieur, hérite du bail de sa tante, victime d'une chute mortelle dans les escaliers de son immeuble de Manhattan, où celle-ci occupait un coquet deux-pièces. Alléchée par le faible montant du loyer, elle décide d'y emménager, au grand dam de son compagnon, Greg Harrison, présentateur météo sur une chaîne locale, qui voit s'envoler ses espoirs de vie commune. La jeune femme ne tarde pas à être confrontée à un voisinage hostile et étrange, en particulier l'occupante de l'appartement du dessous, une vieille femme prénommée Alice, qu'elle n'a jamais vue et qui lui laisse des messages menaçants...



Mon Avis :

Un film a voir pour ? Juliette Lewis ! comme pour Une Nuit En Enfer et California elle joue très bien, cette graine de sous-genre de Fenêtre Sur Cour, face a face avec Tobin Bell ( quel visage particulier tout de même), très bien fait. Le moment dans la nuit, regardez le dans le noir, vous serez avec l’actrice, guettant que quelqu’un ne nous surprennent pas, un moment assez stressant puis d’un autre côté, être seul avec J.Lewis, pas grand monde pour dire non ! Plus sérieusement c’est assez réussi.
Autrement, vous regarderez d’un autre œil vos voisins, la folie dans laquelle ( du moins vue de ses proches) elle tombe est bien mené mais le réalisateur qui est aussi scénariste aurait pu mené ce bout d’histoire plus loin vu que c’est aussi servi par l’excellent William Hurt mais en état c’est du très bon.
Arrivé le moment : « Flashdance, rats / souris et insectes puis trous ». Comme dit par l’un des personnages : c’est un problème de voisinage !
Ces bestioles et l’envie de rendre Jane Emelin folle font leur effet, ça n’atteint pas une certaine apogée mais même juste pour la séquence dans le noir, il mérite d’être vu puis le jeu d’acteur tient du grand artiste.
Et la fin … d’un côté diabolique et surprenante !