George Andrew Romero

George Andrew Romero est un réalisateur, scénariste, acteur, auteur américain né le 4 février 1940 à New York (New York, États-Unis).

À travers ses films d'horreur particulièrement violents, mettant souvent en scène des morts-vivants, Romero critique la société américaine, son racisme (La Nuit des morts-vivants) et sa consommation à outrance (Zombie).


Biographie
Il est né et a grandi dans la ville de New York puis s'inscrivit à l'université Carnegie Mellon de Pittsburgh. Après son diplôme, il commence à tourner, principalement des courts métrages et des publicités. Lui et ses amis fondent le société de production Image Ten Productions à la fin des années soixante et regroupent 10 000 $ pour produire ce qui deviendra l'un des films d'horreur les plus connus de tous les temps : la Nuit des morts-vivants (1968). Écrit en collaboration avec John A. Russo, ce film deviendra culte les années suivantes.

Ses films suivants furent moins populaires : There's Always Vanilla (1971), La Nuit des fous vivants (1973), Season of the Witch (1973) et Martin (1976). bien que n'étant pas aussi acclamés que la Nuit des morts-vivants ou d'autres films plus récents, ceux-ci portent sa marque : un commentaire social sur fond (généralement) de terreur. Comme la plupart de ses films, ceux-ci furent tournés dans sa ville favorite, Pittsburgh, ou dans ses environs.

En 1978, Romero revint au film de zombis avec Dawn of the Dead (1978). Sorti sous ce titre aux USA, il fut remonté par Dario Argento et sorti sous le titre Zombie en Europe. Tourné avec un budget de 1,5 millions de dollars, le film en rapporta 40 millions et Entertainment Weekly le choisit pour sa liste des plus grands films cultes en 2003.

Romero continua sa saga des morts-vivants, d'abord en 1985 avec Day of the Dead puis en 2005 avec Le Territoire des morts (Land of the Dead).


Filmographie

Comme réalisateur
1968 : La Nuit des morts-vivants (The Night of the Living Dead)
1971 : There's Always Vanilla
1972 : Season of the Witch
1973 : La Nuit des fous vivants (The Crazies)
1977 : Martin
1978 : Zombie (Zombi / Dawn of the Dead)
1981 : Knightriders
1982 : Creepshow
1986 : Le Jour des morts-vivants (Day of the Dead), dont un remake sort en 2006 (Le Jour des Morts de Steve Miner)
1988 : Incidents de parcours (Monkey Shines)
1990 : Deux yeux maléfiques (Due occhi diabolici)
1992 : La Part des ténèbres (The Dark Half)
2000 : Bruiser
2005 : Land of the Dead-Le Territoire des Morts (Land of the Dead)
2007 : Diary of the Dead
2009 : Survival of the Dead

Comme scénariste
1968 : La Nuit des morts-vivants (The Night of the Living Dead), de George A. Romero
1972 : Season of the Witch, de George A. Romero
1973 : La Nuit des fous vivants (The Crazies), de George A. Romero
1977 : Martin, de George A. Romero
1978 : Zombie (Zombi / Dawn of the Dead), de George A. Romero
1981 : Knightriders, de George A. Romero
1986 : Le Jour des morts-vivants (Day of the Dead), de George A. Romero
1987 : Creepshow 2, de Michael Gornick
1988 : Incidents de parcours (Monkey Shines), de George A. Romero
1989 : Darkside, les contes de la nuit noire (Tales from the Darkside), de John Harrison
1990 : La Nuit des morts vivants (The Night of the Living Dead), de Tom Savini
1990 : Deux yeux maléfiques (Due occhi diabolici), de George A. Romero et Dario Argento
1992 : La Part des ténèbres (The Dark Half), de George A. Romero
2000 : Bruiser, de George A. Romero
2003 : L'Armée des morts (Dawn of the Dead), de Zack Snyder (scénario original de Zombie)
2005 : Land of the Dead-Le Territoire des Morts (Land of the Dead), de George A. Romero
2007 : Diary of the Dead, de George A. Romero
2009 : Survival of the Dead de George A. Romero

Comme acteur
1968 : La Nuit des morts-vivants (The Night of the Living Dead), de George A. Romero
1977 : Martin, de George A. Romero
1978 : Zombie (Zombi / Dawn of the Dead), de George A. Romero
1986 : Le Jour des morts-vivants (Day of the Dead), de George A. Romero
1990 : Le Silence des agneaux (The Silence of the Lambs), de Jonathan Demme

Comme monteur
1968 : La Nuit des morts-vivants (The Night of the Living Dead), de George A. Romero
1973 : La Nuit des fous vivants (The Crazies), de George A. Romero
1977 : Martin, de George A. Romero
1978 : Zombie (Zombi / Dawn of the Dead), de George A. Romero
1981 : Knightriders, de George A. Romero

Comme producteur
1968 : La Nuit des morts-vivants (The Night of the Living Dead), de George A. Romero
1992 : La Part des ténèbres (The Dark Half), de George A. Romero

Comme directeur de la photographie
1968 : La Nuit des morts-vivants (The Night of the Living Dead), de George A. Romero




Shot at 2007-07-04

mon maitre absolu!! mon idole artistique!!
Roméro, un nom synonyme de réussite artistique incomprise.....ou trop tard!!!
le mort vivant....ce mythe ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui sans les productions de Mr Roméro.....
allez, voici en cadeau, ma photo favorite du réalisateur:

excellente la phooto

Sa saga reste la meilleure du genre malgré bien des tentatives....C'est un grand monsieur qui nous offre des moments formidables!

pour qui cherche une "bible" du réa, je vous conseil ca:

tout simplement indispensable!

Romero, le spécialiste des Zombies !
Je l'adore !

Une petite question : Roméro joue quel role dans Zombie ?

Amityville666 a écrit:

Romero, le spécialiste des Zombies !
Je l'adore !

Une petite question : Roméro joue quel role dans Zombie ?

parce qu'il joue dedans??tu en est sur??

Dans sa filmographie, il est dit qu'il est acteur !

il me semble qu'il est au début dans le studio de tv mais son rôle exact je n'en sait rien.

A oui !
Je l'ai regardé cet après midi et c'est le gars barbu qui est un moment à coté de Fannie !
Dans le studio de télévision .

necrid14 a écrit:

il me semble qu'il est au début dans le studio de tv mais son rôle exact je n'en sait rien.

exact, je m'en souviens!! il est dans le studio TV, assis derriere le "tableau de bord" (c'est comme ça qu'on dit???)

Surt la chaine RTL9, ce soir, seront diffusés à la suite, Le Jour des Morts-Vivants et ensuite La Nuit des Morts-Vivants.

Enfin, je sais plus si c'est ce soir ou quoi....c'est dans la semaine c'est sur!

z'aurez pu les passer dans l'ordre quand meme!

un interview de mr romero dans bloody disguting.
Si quelqu'un parvient à traduire :
http://www.bloody-disgusting.com/news/21416

C'est le maître des zombies ce tit gaz. Dommage qu'en ce moment ces films sont moins bon.

Le-RiRi^..^ a écrit:

C'est le maître des zombies ce tit gaz. Dommage qu'en ce moment ces films sont moins bon.

wouahou! un post censé!
sinon, personne pour la traduction (et pas google, je vous voit venir bande de fénéants!)

Pour la traduction, je veux bien m'y mettre. Je ne promets pas une exactitude à 100%, mais je ferai de mon mieux. Par contre elle est longue alors ce sera peut-être pas tout d'un coup

Ça avance plus vite que prévu, je devrais avoir fini pour ce soir ^^

BLOODY DISGUSTING: Dans le plupart des films de la saga, il y a une sorte d’allégorie. Quelle est-elle dans celui-ci ?

GEORGE A. ROMERO: Je crains de devoir être un peu long ici. Après avoir fait les 4 premiers films, « Land of the dead » a été le plus gros budget, c’était Hollywood, et même si universal était d’accord (je veux dire qu’ils m’ont laissé faire le film qu’ils voulaient faire) c’était un peu décourageant pcq la distribution était un peu terne, j’étais frustré, je voulais revenir aux racines. Et j’ai eu cette idée, même pendant que nous tournions « Land of the dead ». Je voulais faire quelque chose à propos des médias émergents, du journalisme citoyen, tout ça. Alors j’ai eu cette idée pour « Diary of the dead », et je me suis dit que je pouvais le faire avec très peu d’argent.
Et nous avons trouvé ces partenaires, une société appelée ArtFire, qui étaient prêts à le financer tant que cela ne dépassait pas 4 million de dollars.Nous avons pu le faire pour environ 2.5 millions de dollars. Et parce qu’il coûtait si peu cher, et même s’il ne bénéficiait que d’une sortie limitée, ça a fini par engranger beaucoup d’argent dans le monde entier, après les vidéos, et tout le reste. Alors ils en voulaient un autre, et j’ai répondu « Ho ho ». Pcq je n’avais pas l’habitude … les idées sont toujours venues en premier, je veux dire le thème sous-jacent, à l’exception du tout premier film, pour lequel je n’avais pas encore trouvé ma « façon de faire ». Mais les idées viennent toujours d’abord. Alors tout d’un coup je dois en refaire un sans inspiration, pour ainsi dire. (rires)
Alors j’ai dit « Et maintenant si Survival fait beaucoup d’argent et qu’ils veulent que j’en refasse un autre ? ». Alors j’ai eu l’idée de prendre des personnages secondaires de « Diary ». J’ai développé 3 histoires que je pourrais utiliser, et celle-ci est la première. Maintenant, je ne sais pas si les autres se feront, mais je suis prêt à les faire si celui-ci ramène de l’argent. Alors je dois les utiliser au service d’un thème plus universel, pas forcément un évènement qui apparaitrait au journal, bien que les conflits apparaissent toujours au journal.
Donc, celui-ci parle de querelles, de la haine de qui ne meurt pas, des guerres qui commencent et dont on oublie pourquoi elles ont commencé, tout ce qu’ils savent c’est « tu es mon ennemi ». Et vous savez, vous pouvez penser au Nord, au Moyen-Orient, au Sénat américain, c’est autour de cette haine que les gens se forment. Et c’est essentiellement le thème de ce film.
J’adore l’idée d’essayer d’en refaire 2 de plus, si ça arrive. Et je voudrais les faire dans des styles différents. Alors celui-ci, pcq j’ai ces 2 vieux bonshommes, j’ai pensé au vieux Western « The big country » de William Wyler. Et nous l’avons tous regardé, moi le concepteur de la production, le directeur de la photographie, et tous les autres. J’ai dit « Pourquoi ne le faisons-nous pas ressembler à ça ? ». Nous avons donc choisi l’écran large, 2.35, nous n’avons pas abaissé ( ?) les couleurs, ça donnait une saveur Western au film, bien qu’il soit contemporain. Sur cette île, j’ai décidé d’en finir avec l’utilisation des voitures et des chevaux. (rires)
Donc, c’est un concept, mais ça rend tout ça plus amusant pour nous en tant que réalisateurs. Et si nous en refaisons un autre, je ne sais pas. Je vais peut-être essayer de le faire noir, ou … je ne sais pas. Mais j’aime jouer avec le milieu de cette façon. Il y a aussi beaucoup d’humour dans ce film. Ça sort droit du playbook de Chuck Jones, il y a beaucoup de moments très « Looney tunes » dedans. Donc laissez-moi tranquille et donnez-moi le contrôle créatif, et ce que vous obtenez c’est … vous savez, vous pouvez me blâmer pour ça. Je ne sais jamais si ça va marcher. Simplement c’est beaucoup de fun pour moi, et j’espère que c’est pareil pour le public.

BLOODY DISGUSTING: Vous avez vraiment l’air de retourner à vos racines en faisant ces films à petite échelle, de façon indépendante …

GEORGE A. ROMERO: Ho oui, très. Je veux dire, il n’y a pas de comparaison. Je vivrais ici si je pouvais. Si nous pouvions faire les 2 autres films, je serais dans un « Put*** » de paradis, mec. J’adorerais le faire, avoir les commandes de nouveau. Je veux dire, je n’ai plus eu ce genre d’expérience depuis mes tout tout débuts, et c’est génial, vous savez. Vous sentez que vous faites votre propre travail, et que vous êtes capable de faire tout ce dont vous avez envie. Il n’y a rien de tel. Et c’est libérateur pour le reste de l’équipe aussi pcq ils n’ont pas les notes de service à passer ( ?). (rires) Ils peuvent simplement venir à moi et me poser une question. C’est tellement plus facile. L’important ce n’est pas tellement dans quoi vous dépensez l’argent, mais plutôt dans quoi vous ne le dépensez pas.

BLOODY DISGUSTING: Ça m’a interessé quand j’ai entendu que ça avait été tourné dans le style grand écran des anciens westerns. Que pensez-vous du fait que les avant-premières se sont déroulées en VOD et autres petits formats avant d’être au cinéma ? Avez-vous l’impression que l’on y perde en le regardant sur un petit écran ?

GEORGE A. ROMERO: Hé bien, je pense que si. Bien que je n’ai jamais été un de ces gars qui dit « Ho vous devez le voir sur grand écran ». Ça n’a jamais été mon truc. Je présume qu’il a été redimensionné, au moins vous pouvez voir l’image entière. Mais je n’ai jamais été catégorique à ce sujet, en fait. Vous savez, vous faites les films sur un petit écran, vous ne les voyez jamais en grand jusqu’à ce qu’il soit trop tard. Vous vous retrouvez avec votre instinct pour déterminer ce que ça donnera sur grand écran. Mais je suis toujours étonné, en fait… Quand je vois le film en grand, il y a toujours 2 ou 3 choses qui ne fonctionnent pas bien. C’est tellement difficile de prendre des décisions sur un petit écran… en particulier les décisions sur les découpages. Là où l’œil se déplace …ou que vous souhaitez déplacer l’œil du spectateur. Et quand vous voyez le film en grand c’est tellement différent. Alors ça ne me dérange pas. J’espère qu’il a été redimensionné, je ne sais pas.

BLOODY DISGUSTING: C’est vraiment une nouvelle direction avec « Diary », qui a été tourné d’une façon opposée.

GEORGE A. ROMERO: Beaucoup oui. Beaucoup. (rires) Non, on essayait vraiment de le faire ressembler à un vieux western de Hollywood. Un bon vieux western. Et le directeur de la photographie a fait un travail sensationnel. Je peux le dire pcq je ne m’en suis pas chargé. Esthétiquement, c’est vraiment un beau film.

BLOODY DISGUSTING: Parlez des bonus du dvd. Il y a un documentaire « Marcher après minuit », qu’est-ce que c’est ?

GEORGE A. ROMERO: Ça me dépasse. (rires) C’est tout ce que ça dit ?

BLOODY DISGUSTING: Oui, sous la fiche on mentionne ce documentaire et un court-métrage « sarge ».

GEORGE A. ROMERO: En général je ne le fais pas. Je fais toutes les interviews, les commentaires et tout, mais généralement je n’ai rien à voir avec la production de ces choses-là. Donc je ne sais pas vraiment à quoi correspond tout ça… Mais j’en ai entendu du bien. J’ai entendu qu’il y avait un documentaire sur le tournage du film qui est très précis et très agréable, mais je ne l’ai pas encore vu. Je n’en ai pas encore la copie.

BLOODY DISGUSTING: Donc vous pourriez le regarder pour la 1ère fois en même temps que nous ?

GEORGE A. ROMERO: Les bonus, oui certainement.

BLOODY DISGUSTING: Vous avez dit qu’il y avait quelques personnages secondaires de « Diary » que vous suivriez pour les 2 prochains films. Pour le prochain, cela concernera quels personnages ?

GEORGE A. ROMERO : He bien, je n’en suis pas encore sûr. J’ai 2 histoires … Je ne sais pas si vous avez vu « Diary of the dead » mais il y a ces afro-américains qui sont des déserteurs, qui sont des pilleurs. Ce serait un groupe. Et la blonde qui s’échappe à la fin …ce n’était pas un personnage secondaire mais elle a survécu et s’en est allée après que les autres se soient barricadés dans la maison. Je suis aussi intrigué par l’idée de pouvoir réutiliser certains personnages, les faire se rencontrer de nouveau, réutiliser des points de l’histoire, et ainsi de suite. Je n’ai jamais été en mesure de le faire parce que les premiers films sont détenus et contrôlés par des personnes différentes. Donc je n’ai jamais pu faire revenir de personnages. Vous savez, j’aimerais pouvoir revoir Big Daddy alors qu’il était encore en vie. Pareil pour Bub. Mais je ne le peux pas pcq je ne les possède pas.

BLOODY DISGUSTING: Je vous ai entendu dire dans une autre interview que vous et ce partenaire étiez en train de développer un autre film d’horreur « non zombie ». Je me demandais si vous pouviez en parler.

GEORGE A. ROMERO : He bien, je ne peux pas vraiment vous parler du scénario pcq ça passe ou ça casse, et je voudrais garder ça secret. Mais c’est un film d’horreur non zombie, et pour la première fois de toute ma carrière… vous savez, les gens m’appellent « le mec de la peur », alors que je ne trouve pas mes films effrayants. Depuis « Night of the living dead » , quand j’essayais de rendre les choses un peu effrayantes, ça partait en délire comique, et les moments effrayants sont comme des farces, vous voyez ? Les sons forts, les mouvements rapides … ce n’est pas le genre de film qui fait peur. C’est donc un drame psychologique, c’est de la peur psychologique. Nous y travaillons en ce moment. En fait, j’écrit le script. Je devrais l’avoir fini dans quelques semaines.

BLOODY DISGUSTING: Peut-on espèrer une annonce de quelque nature que ce soit sur ce film bientôt ?

GEORGE A. ROMERO : Ho je ne sais pas. Si « Survival » ramène de l’argent, je ferai les 2 autres films de zombies. Je serais heureux de le faire, je veux dire que c’est la chose principale pour moi, d’avoir un job et de savoir ce que je ferai de mes 2 prochaines années. Donc je serais heureux que cela arrive. Si ça n’arrive pas, on s’occupera de ce film…
Si c’est pas des zombies, de ma part, ce sera plus dur de trouver des financements, vous devez convaincre les gens que ce projet en vaut la peine. Et à mon âge, je ne sais pas. Je crois que j’en ai soupé. Rien n’est jamais acquis dans ce business. Il faut toujours convaincre les gens, etc, et je ne suis pas bon là-dedans. Mais de toute façon, en ce qui concerne l’annonce, je ne sais pas. Nous verrons.





Voilà, ce n'est pas toujours facile de traduire de l'anglais vers le français, y a des choses qui ne se disent pas, j'ai fait comme je pouvais

Très intéressante cette interview et bon travail pour la traduction, chapeau

En effet, je ne le trouve pas avare de détails!

Et merci

Merci beaucoup Dancetaria, très intéressante cette interview

Merci pour l'interview

Merci bcp!!!!!!!

Bah de rien, et du coup hier je me suis achetée Diary Of the Dead