Black Water

BLACK WATER - 2007

Réalisé par Andrew traucki et David Nerlich



L'histoire : En ballade dans le nord de l'Australie, région tropicale sujette aux inondations, Grace, son petit ami Adam et sa jeune soeur Lee décident de partir pêcher en compagnie d'un guide local. Alors que leur bateau file tranquillement sur la rivière, ils sont attaqués par un crocodile. Le guide est tué et les trois vacanciers se retrouvent bloqués sur un arbre parmi les Mangroves inondées. Pour survivre, ils devront éviter le crocodile mangeur d'hommes et atteindre le bateau qui s'est retourné.






Un film qui réuni crocodile et proies humaines avec un budget loin d’être faramineux (pas plus de 700 000 dollars ) laisse à penser qu’on aura droit a un nanar de toute puissance avec peinture rouge, plastoc et bimbos siliconées !!
Que nini ! Black Water est l’"Open Water" du croco… Les deux réalisateurs australiens Andrew Traucki et David Nerlich évitent le nanar de base à la sauce djeuns, fêtes, braconniers neuneux et croco gigantesque aux FX risibles…
Le film débute bien mais fera ressentir par la suite quelques longueurs (certes pas non plus décourageante !), nous sommes donc témoin de la mésaventure de nos protagonistes à qui l’on s'attache rapidement. Mais "Black Water" ne tardera pas à provoquer une montée de tension crescendo nourrie par des séquences réalistes et efficaces, le tout soutenu par une bonne bande son.
(la séquence de nuit orageuse ou le croco dévore son festin près des deux rescapées reste un moment très prenant !)

Le film, aussi simple soit-il ne se résume pas qu’à ça ! Tout comme "Open Water" il a son aspect réaliste aussi bien dans sa réalisation à la photo soignée, que ses personnages (casting inconnu) attachants et de son grand méchant : le crocodile, quasi véritable crocodile de taille normal. Chacune de ses apparitions, suggérées ou non, provoque son moment de crainte, nos victimes sont face à un véritable psychopathe animal, déterminé à ne pas perdre son quatre heure !

Les séquences d’attaques peu nombreuses restent efficaces, elles ne tombent pas dans le spectaculairement ridicules !
Malgré un départ où l’on est en droit de douter si l’on ne va pas sombrer dans l’ennui, Black Water nous percute un grand coup, nous sommes face a un bon thriller avec strict minimum qui se permet de redorer un peu le blason du genre bien ternit par des BloodSurf, Crocodile, Lake Pacid 2 où encore Primeval !

4/6

Salut Billy, j'ai regardé le film grace à ton post. Je le trouve super, hélas comme tout film à suspence, je trouve 1H30 trop court

Je ne connaissais pas du tout ce film, je vais essayer de me le procurer, merci pour vos avis

Il a été dispo avec le Mad Movies de juin

Je noterais que les deux seuls défauts sont : la fin! on dirait que ça été mis en place tel quel juste pour finir, je ne l'ai pas trouvé top et le deuxième point, c'est le crocodile, on a envie de l'avoir en animal de compagnie.


A part ça : La mise en tension est impressionnante aidé par une superbe musique, ce style ou la peur est omniprésente avec un ennemi invisible tient des plus grands chef d'oeuvre du Genre, on pense a Carpenter notemment qui s'aide souvent de la musique adéquate a la situatioin pour faire peur, chez Black Water c'est formidablement réussi.

La réalisation sous l'eau, a filmer les pieds, les bulles a la sufaces, pleins de "petites " choses qui font qu'on angoisse un peu, le crocodile peut surgir a tout moment.

Des bons dialogues, sous le stress de la situation ils se répètent et les acteurs s'y donnent et leurs jeu sont incroyables puis les combats avec le croco' ( c'est pas Ong Bak 2 quand même) sont palpitants.

Comme quoi laisser 3 personnes sur un arbres perchés n'est pas si emmerdant que ça!

Billy tu peux mettre à jour ta chronique ?

Le genre de film qui réunit crocodile et proies humaines avec un budget loin d’être faramineux (pas plus de 700 000 dollars !) laisse à penser qu’on aura droit a un nanar de toute puissance avec peinture rouge, plastique et bimbos siliconées !!

Non ! Black Water c'est l’Open Water du croco… Les réalisateurs australiens Andrew Traucki et David Nerlich évitent le nanar de base à la sauce ados, fêtes, braconniers péquenots et crocodile gigantesque aux effets spéciaux risibles…
Le film débute bien mais quelques longueurs se feront ressentir par la suite (certes pas non plus décourageante !), nous sommes donc témoin de la mésaventure de nos protagonistes à qui l’on s'attache rapidement. Mais Black Water ne tardera pas à provoquer une montée de tension crescendo nourrie par des séquences réalistes et efficaces, le tout soutenu par une bonne bande son.
[SPOILER] Comme en témoigne la séquence de nuit orageuse ou le crocodile dévore son festin près des deux rescapées !) [FIN SPOILER]

Aussi simple soit-il, le film ne se résume pas qu’à ça ! Tout comme Open Water il a son aspect réaliste aussi bien dans sa réalisation à la photo soignée, qu'avec ses personnages (casting inconnu) attachants et de son grand méchant : le crocodile, quasi véritable saurien de taille normal. Chacune de ses apparitions, suggérées ou non, provoque son moment de crainte, nos victimes sont face à un véritable psychopathe animal, déterminé à ne pas perdre son quatre heure !

Les séquences d’attaques peu nombreuses restent efficaces, elles ne tombent pas dans le spectaculairement ridicules !
Malgré un départ où l’on est en droit de douter si l’on ne va pas sombrer dans l’ennui, Black Water nous percute un grand coup, nous sommes face a un bon thriller avec le strict minimum qui se permet de redorer le blason du genre... Genre bien ternit par des BloodSurf, Crocodile, Lake Pacid 2 où encore Primeval !