Et voilà... Vous en rêviez ? Alors
Steven Seagal l'a fait !! Après avoir savaté des mecs, cassé des bras, filé des claques, le tout avec peu d'égratignures en retour pendant une bonne vingtaine d'années, Steven est de retour pour nous débarrasser d'infectés particulièrement voraces !
Bon je vous le dis, ma critique aura un minimum d'objectivité !
Against The Dark est un nanar fantastique qui pompe sur des
28 Jours Plus Tard,
Rec ou encore
Resident Evil. Une série Z du genre comme une autre... Mais les autres n'avaient pas
Steven Seagal !
Against The Dark n'est pas un film de vampires à proprement parlé, ici il est question d'une contamination, toutes les personnes infectées deviennent alors avides de chair et de sang, autrement dit de vrais cannibales !
Le film démarre sans détour, c'est le chaos sur terre et un virus en est la cause. L'histoire nous embarque dans un huit clos où une bande de survivants se réfugient dans un hôpital, bien sûr le lieu est infesté de contaminés... Pour nos personnages, seul survivre jusqu'au matin compte...
Mais et
Steven Seagal dans tout ça ? Lui il dirige un petit groupe de chasseurs en manteau de cuir, il ne fait pas grand-chose pendant une bonne moitié du film, mais une fois arrivé dans les lieux, nous voilà rassuré : Steven alias Tao
(My name is Tao, dit-il à une petite survivante après lui avoir demandée qui il était !) vient à la rescousse, le visage toujours inexpressif, armé de son sabre et de son fusil pour dégommer ses nouveaux ennemis...
Mais avec tout ça et c'est aussi une première chez Steven, son film est gore !! Oui oui
Against The Dark n'a pas à être honteux en tant que film horrifique. Entre scène de repas, de tripailles à l'air, de morsures saignantes et de coups de sabre giclant, voilà de quoi surprendre le spectateur habitué à sa filmographie "castagneuse" !
Les effets sont honnêtes tout comme les maquillages, un nanar qui réussit néanmoins à divertir,
Steven Seagal passe au second plan, l'histoire se concentre plus sur la survie des autres protagonistes.
Donc voilà, rien d'original évidemment, mais du rythme, de la tripaille et
Steven Seagal qui prouve, qu'une fois encore on peut compter sur lui...
Merci Steven !